Pour la Saint-Jean, la plus grande fête de l’année à Porto (nuit de vendredi à samedi), mes cousins Vitor et Teresa sont venus nous rendre visite. C’était bien amusant, je suis parti avec eux deux à la découverte de cette grande fête remplie de traditions, que je raconterais sans doute un autre jour, quand les enfants auront l’âge d’y aller aussi.
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Virgile, on a de la visite !
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Yo yo yo !
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On dirait une couverture d’un album de rap…
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Ah, dîner sur notre terrasse, à l’ombre des yuccas…
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Finalement, ce verre dépoli permet de ne pas avoir la lumière rasante du soleil couchant dans la figure.
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J’adore cette nappe
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Sur la place Mouzinho de Albuquerque, plus connue sous le nom de « Rotunda da Boavista », une fête foraine. On est ici assez loin du haut lieu des fêtes, à savoir le centre historique.
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Pour y aller, on a pris le métro. Regardez la queue pour acheter le ticket ! Pour la petite histoire, à la sortie, station Trindade, une armée de contrôleurs. Du coup, ça bouchonnait à mort.
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La mairie. Avec les stands de churros, de farturas et autres machins sucrés ou salés.
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Les rues étaient décorées, mais là n’était pas le principal.
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Pour voir le feu d’artifice, rendez-vous dans un mirador sympa, pas très connu…
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A part par la moitié de la planète, du coup on pouvait à peine bouger les yeux.
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Mais j’ai pu voir un peu du feu d’artifice. Teresa, beaucoup moins. Impossible d’apprécier le pont Dom Luiz I embrasé par les feux, par exemple.
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Et toute la nuit n’est qu’une succession de concerts un peu partout dans la ville. On s’est arrêtés à celui-là, un chanteur de musique (très) populaire. Après, je laissé mes cousins faire la fête jusqu’au matin. Moi, je me suis couché (après avoir pris le métro et marché 2 km du métro à la maison).
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Le lendemain, tout le monde est bien sûr frais et disponible.