Recette gâteau d’anniversaire #1

Il s’agit du gâteau au chocolat des 3 ans d’Andrea, une génoise au chocolat fourrée au chocolat.
On lui avait demandé « qu’est-ce que tu voudrais comme gâteau d’anniversaire ? »
« – un gâteau au chocolat » avait-elle répondu instantanément.

Les gâteaux, malgré les apparences, n'étaient pas identiques. Même recette de gâteau au chocolat, mais ingrédients différents. Celui avec les oeufs de la ferme était bien meilleur que celui avec les oeufs fermiers bio plein air (etc.) du supermarché.

Les gâteaux, malgré les apparences, n’étaient pas identiques. Même recette de gâteau au chocolat, mais ingrédients différents. Celui avec les oeufs de la ferme était bien meilleur que celui avec les oeufs fermiers bio plein air (etc.) du supermarché.

Ingrédients

Pour la génoise :
– 150 g de cassonade (ou sucre)
– 5 oeufs (de la ferme, pas du supermarché…)
– 30 g de chocolat en poudre (du Van Houten non sucré, en ce qui me concerne)
– 120 g de farine de blé, T55 ou T60…

Pour le fourrage, façon ganache :
– 20 cl de crème liquide entière
– 200 g de chocolat à dessert praliné. La recette originale prévoyait du chocolat noir, mais après un essai préalable au chocolat noir à dessert « corsé », José a explicitement demandé du chocolat praliné. Dont acte.
Variante, testée dans la foulée la même semaine, et qui a obtenu un certain succès : 200 g chocolat blanc au café, nestlé dessert.

Glaçage :
ce qui reste du fourrage une fois le gâteau fourré 😀

Réalisation
Génoise :
– préchauffage du four à 200° + beurrer/fariner un moule à manquer.
– Tamiser ensemble le chocolat en poudre et la farine, le tout est d’un poids identique au poids de la cassonade, ici 150 g. Bien mélanger.
– Battre ensemble les oeufs et la cassonade : je me suis arrêtée lorsque le mélange avait quintuplé de volume.
– Incorporer dé-li-ca-te-ment la farine-chocolat dans les oeufs battus, sans écraser les oeufs battus.
– Verser dans le moule, enfourner 20 min, puis laisser complètement refroidir.

Ganache :
– découper tous les morceaux de chocolat
– faire chauffer la crème liquide jusqu’à ébullition, puis verser sur les morceaux de chocolat et mélanger aussitôt.
– J’ai étalé la « ganache » à température ambiante dans la génoise coupée en 3 parties, mais on peut la laisser refroidir au frigo pour une consistance plus épaisse.
Le gâteau est « remonté » au fur et à mesure que j’étale la ganache.

Glaçage :
Mon glaçage était juste bon pour y coller des smarties dans un bel effet « années 80 », mais pour un glaçage plus consistant, cette recette n’est adéquate que pour du chocolat noir, pas du chocolat praliné.

Trucs et Astuces :
– Ne pas ouvrir le four avant la fin de la cuisson, sous peine de voir la génoise se dégonfler.
– Le gâteau est meilleur le lendemain.
– Trouver un fil à génoise.

Chez Jacques-André et Agathe

Lors de notre trajet retour après les vacances de Noël 2014-2015, nous décidâmes de faire une pause à Prunières (limite nord de la Lozère). Bien nous en pris, car malgré le froid, tout relatif, après 3 semaines sous le soleil déréglé de Marseille, il n’y avait pas de neige.
Car ils venaient de déménager, quelques jours avant le nouvel an…

Sapin de Noël 2014

Andrea décore le sapin ❤ c’est sa première fois! Avec sa grand-mère et sa tante.
Sous l’oeil dubitatif de son cousin Thibault.

Bien informée

Bien sûr, José et moi sommes Papa et Maman de toute éternité, on n’a pas d’âge, etc.
Les parents de José étant Portugais, on commence en douceur à imprégner Andrea de cette langue, en les surnommant Papi Vovo et Mamie Vovo, pour avo et avó, « grand-père » et « grand-mère » en Portugais.

Hier soir Andrea me demande : « comment tu t’appelles toi? »
– « je m’appelle maman. Comment il s’appelle, lui ? » en montrant son père, et attendant un « Papa »en réponse.
– « José ». Stupéfaction de l’assistance.
José, inspiré, lui demande alors :
– « et comment elle s’appelle, maman ? »
– « Laure » du tac au tac. Re-stupeur.
On enchaîne :  » et comment il s’appelle, papi ?  »
– « il s’appelle Vovo !  » d’un air triomphant.
Voilà voilà, en même temps ça ne pouvait pas durer.

Boutique Aubéry

Le 58, rue d'Aubagne à Marseille, avant 1958.

Le 58, rue d’Aubagne à Marseille, avant 1958.

1958, c’est l’année où mon arrière-grand-père André Aubéry, le père de mon grand-père André Aubéry, a quitté sa boutique pour prendre sa retraite. Il est mort quelques mois plus tard la même année.

Il tenait ce magasin de son père, dont le commerce avait alors pour principal objet les lustres en bronze. Entretien, réparation, vente… Mon grand-père avait gardé un ou 2 lustres qu’il a par la suite installés chez lui.

Le fondateur, le père de mon arrière-grand-père, s’appelait Andrea Miranda, il venait d’Italie. Il a rencontré Anaïs Aubéry, la mère de mon arrière grand-père (quelque part vers le mont Ventoux ? à Marseille ?) mais n’a pu l’épouser, la légende familiale raconte qu’il était marié en Italie. Anaïs et Andrea n’ont un qu’un enfant, appelé André, qui a son tour n’a eu qu’un fils, mon grand-père. Arbre généalogique consultable ici.

Cette boutique la voici, j’ignore l’année où ce cliché a été pris.

On notera que l’enseigne porte un accent sur le « e », alors que sur mon extrait de naissance, il n’y a pas cet accent…

Je peux profiter de cet article pour signaler que Andrea Miranda, premier André de la famille, a engendré un André Aubéry, qui en a engendré un autre, mon grand-père, qui lui aussi a engendré mon père, André. A ce stade, je me demande pourquoi c’est mon père qui s’appelle André, et pas son frère aîné Gérard. D’autre part, nous autres générations jeunes de la télé couleurs et d’internet, sommes modernes, et c’est pourquoi mon frère s’appelle Jacques-André, et ma fille, Andrea.

Crèche des Aix

IMAG1240

Dans la piscine à boules de l’espace motricité, avec Alexandre et Lorelei.

IMAG1239

Dans la salle à manger- salle d’activités peinture… Avec Maelle.

Andrea n’est pas encore inscrite qu’elle ne veut déjà plus rentrer à la maison.

Edit :
Bin en fait ça y est, inscrite depuis ce soir \o/